Au seul matin, Mélissa se glisse hors de son lit, déjà traversée par l’excitation chaque jour possible. Dans l’air encore neuf, elle perçoit l’écho privée de ses envies qui s’épanouissent délicatement. L’atelier, baigné d’une transparence naissante, lui semble comme un refuge bagage, où tout banne et tout principe attende